Proverbe pour commencer
"Amour, éternel toujours restera
Tant qu'épris de toi mon cœur sera"


la vie sonnet en seblexandrins l'alcool histoire-géo français mathématiques les préjugés l'automne l'amour le dernier

"La vie"

la vie est belle quand le soleil sort son manteau lumineux
Mais tout peut s'écrouler lorsque les nuages cachent le ciel bleu
La pluie vient réveiller les escargots
Et chacun râle pour qu'il fasse beau
Mais quand les nuages disparaissent et que la température s'élève
La tension des gens se fait sentir car chacun veut une trêve
Mais tout le monde ne peut être satisfait
Et chacun doit faire avec le temps qu'il fait
C'est comme la vie qui s'écoule lentement
sans que chacun ne fasse ce qu'il entend
mais ça ne sert à rien de se prendre la tête pour des conneries
Il faut laisser tomber et continuer sa vie
pourquoi ne pas s'en aller pour recommencer
plutôt que de vouloir mourir pour n'avoir plus à penser
à toutes les fautes que l'on a commis
et qui nous empêche de dormir le nuit


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Sonnet en Seblexandrin

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant,
De cette jeune fille que j'aime tendrement,
Que je revois d'ailleurs dans mes rêves fort souvent,
Mais que j'ai du mal à distinguer facilement.

Est-elle blonde ? Est-elle rousse ? Est-elle brune ? Je ne sais,
Mais je l'aime et je l'adore pour l'éternité,
Car sa voix envoutante ne cesse de me parler,
Et m'appelle surtout à ne jamais la quitter.

Cette jeune femme se balade dans la nature
Au milieu des arbres et fleurs dont la beauté pure
S'illumine de tous feux pour montrer mon amour.

Je l'aime vraiment et surement à la folie,
Mais comment savoir de quelle fille il s'agit ?
Ce doit être celle qui m'envoute tous les jours...


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L'alcool

Pourquoi me réfugier dans l'alcool,
Faut pas croire que j'picolles,
Mais quand le désespoir est là,
Et qu'il m'attend un peu plus bas,
Je n'ai qu'à me laisser glisser
Pour finalement tomber.

Mais il faut se reprendre,
Car la vie peut être tendre,
A condition qu'on le veuille vraiment,
Et que l'on ne sombre pas lentement
Vers la lumière noire qui, impatiente,
Attend notre venue en bas de la pente.

C'est pour ça que l'alcool n'est pas bon,
Car ça ne résoud rien et faut être con
Pour penser que boire ou fumer c'est formidable
Car ça sert juste à passer des moments formidables
Après s'être défoncé jusqu'à la limite
Où notre corps et notre esprit arrivent au seuil critique.


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Histoire-géo

Lorsqu'on va en français,
L'oreiller est de rigueur,
Mais en histoire-géo, toute l'année,
C'est le lit qui est meilleur.

Notre chère prof stressée,
Qui nous demande de nous la fermer,
Et qui montre l'exemple en chuchotant,
Croyant faire un cours normalement.

Avec elle il faut travailler,
Et surtout ne pas se faire remarquer,
Sauf à l'oral pour parler,
Car il est important de participer.

On peut se demander si elle réfléchie,
Car elle ne retient rien de ce qu'on lui dit;
En clair, elle vient juste pour nous faire chier,
En se reprenant sans cesse s'apercevant qu'elle s'est trompée.


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Français

M.Tapas est un professeur,
Qui éduque de tout son coeur,
Les élèves du lycée Evariste,
Qui ne sont vraiment pas triste.

Mais pour ses cours il est vrai
Qu'il vaut mieux prévoir un oreiller,
Pour pouvois profiter pleinement
De sa voix qui endort doucement.

Tout de même, il est gentil
De nous avoir déjà dit :
"plutôt que de déranger la classe, mieux vaut dormir",
Car cela nous évite, avec un avertissement, de sortir.


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Mathématiques

Ah, la bonne vieille Coulant,
Faisant son cours en suant,
Et que dire des avertissements
Qui restent des paroles tout le temps.

Y'a pas à dire, avec elle tout va,
Au rythme d'un cours tous les 2 mois,
En se disant que c'est les élèves qui, chaque fois,
Foutent la merde pour que le programme ne finisse pas.

En tout cas, c'est la fête quand on vient,
Car en cours de maths on ne fait rien,
Sinon attendre qu'arrive la fin
Pour que la crise de nerfs de la prof stoppe enfin.


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Les préjugés

On a souvent parlé de préjugés
Mais il y a aussi les rumeurs
Qui accentuent tous ces faits
Entraînant les intéressés dans le malheur

On comprend pourquoi les larmes ne sortent pas
Quand pourtant notre moral est au plus bas
Car ce n'est pas de la tristesse, mais de la haine
Qui remplit notre cour et se déchaîne

Car comment se sentir coupable et attristé
Par un malheur tant redouté
Quand on sait que c'est par certains qu'est venu
Le désespoir d'un bonheur tant attendu

Il faudrait mettre tout cela de coté
Laisser les gens vivre sans cette peur
Que ce que l'on est soit un préjugé
Pour ceux qui empêchent de faire naître le bonheur


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L'automne

Les feuilles vertes peu à peu se rougeoient
Les branches nues lentement se déploient
Avec l'automne qui dévoile ses couleurs
Et cache les rayons lumineux du bonheur

Car quand l'été nous délaisse
Qu'il laisse sa place de déesse
Illuminant nos journées sans cesse
Nous poussant à la paresse

Mais on peut retrouver le bonheur
Non par le soleil mais dans le cour
Et quand l'hiver nous arrivera
La neige illuminera ce bonheur là

Noël et les fêtes toute l'année
Nous rapprochant de notre bien-aimée
Et chacun pouvant alors retrouver
Ce bonheur oublié


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L'amour

Nous sommes entrés dans le nouveau millénaire,
Mais rien n'a changé sur la Terre ;
Par la guerre, certains meurent tout le temps,
Tandis que d'autres s'aiment tendrement

Mais comment trouver l'amour réel,
Celui qui nous donne le bonheur éternel ?
Faut-il croire au coup de foudre,
Ou, est-ce au destin d'en découdre ?

Mais quand celui-ci se fait oublier,
Qu'il nous délaisse pendant des dizaines d'années,
Vaut-il mieux affronter la mort
Ou continuer à attendre cet amour si fort ?


Je te vois tous les jours, toutes les nuits,
Ton visage, ton sourire illuminent ma vie
Avec toi mes rêves sont un paradis
Où je me noies avec envie.

Que tu sois de bonne humeur
Ou à l’inverse de mauvaise humeur
Etre avec toi fais mon bonheur
Et ma joie à toute heure.

Une journée entière sans toi
Déchires mon cœur, éteint ma joie
Crée un manque terrible en moi
Qui m’oblige à penser sans cesse à toi

Il est donc une chose que je ne peux nier
C’est que je t’aime ma bien-aimée
Et que la vie sans toi ne peut exister
Car dans mes pensées tu seras pour l’éternité


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Le dernier

Chacun, un jour, songe à la fin
A partir, s’en aller loin, très loin
Peut-être pour une terre sans retour
Où l’on trouverait la paix, l’amour.

L’envie de tout quitter
Peut à l’évidence m’amener
A en finir avec ce cauchemar
Qu’est ma vie mon histoire.

Mais pourquoi vouloir tombé
Dans cette facilité qu’est de se tuer
Autant changer de vie, tout quitter
Partir seul, sans se retourner.

En outre qui pourrait me retenir,
Qui en me voyant pourrait dire :
Ne pars pas, tu comptes pour moi,
Reste et serres moi fort dans tes bras.

Il n’est personne et c’est une réalité
Celle d’un type qui a tout gâché
Comment ? Lui-même ne le sait
Mais seul à présent il est.

J’aimerai vous dire adieu
M’en aller pour de meilleurs cieux
Mais comment savoir si ce serait mieux
D’aller ailleurs seul et malheureux.

Le choix reste donc en suspens
Et peut-être sans réponse un moment
Car c’est la mort qui viendra me chercher
Pour me guérir des souffrances du passé.


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