Nouveau poème


Retour sur la poésie, les rimes
Mais sans aucune envie de frime
Juste un passage à vide, une petite déprime
Qui revient chaque année et me brime.

Résultante ou coïncidence,
Ce passage vient en période dense
Où se croisent peine et souffrance
Démotivation ou peut-être….. incompétence.

Suis-je vraiment qui je crois être
Ou n’est-ce qu’une pensée traître ?
Une idée de moi qui me fait croire
Que je peux résoudre seul tous mes déboires.

Je peux analyser les gens globalement
Les comprendre, mais seulement partiellement
Juste en les observant, en les écoutant
Mais peu me croient… moi jeune de 21 ans.

Conscient d’une triste vérité
Aucun boulot rendu depuis février !
Est-ce là une preuve d’immaturité
Ou juste de mon caractère, le reflet ?

Toujours tranquille, rarement énervé
Dans les moments importants, jamais stressé
Juste prendre de la vie ce qu’elle veut bien nous donner
Et toutes les désillusions, ne pas s’en préoccuper.

Désillusion de croire que je vais bosser
Qu’enfin la motivation va me pousser
A faire ce, par quoi chacun doit passer
A savoir, après les études….. travailler !

Je n’ai pas le bac en poche : pas de pot !
Critiquer ou incompris par beaucoup trop,
Moi dans ma tête je sais ce que je vaux
Ne me dites pas stupides, je dirai “FAUX” !

N’est probablement stupide que ma non confiance
Qui m’a affecté durant mon enfance !
La cause : ceux qui jugent de par l’apparence
Sans chercher à voir plus loin… stupide intolérance.

Aujourd’hui cette confiance est là
Du moins dans la vie, j’avance pas à pas
Et si parfois je m’arrête c’est à cause de toi
Celle inconnue ou charmante amie qui me foudroie.

Et c’est là que reste cette maladive peur
Cette banalité pour beaucoup, pour moi la terreur
Car de ton simple regard, tu embrases mon cœur
Et paralysé… l’amour avec le temps se meurt.

Lorsque je te vois t’éloigner, je pleure
Non pas extérieurement, juste de l’intérieur
Tristesse de ne plus jamais te revoir, douce fleur
De te laisser partir en sachant que tu es mon âme-sœur.

Tu t’accordes avec moi avec tant de simplicité
Que finalement l’idée de te décevoir m’effraie
Car te perdre me ferai tombé dans l’obscurité
De ce monde où tu es ma lumière… mon étoile du berger.

Ahhhh… l’amour, sentiment si ambigu
Pour certains unique, quasi inconnu
Pour d’autres physique, et très bien connu
Et pour moi : rare et si confus.

Mais en marge de l’amour reste l’amitié
Valeur très forte si elle est partagée
Pour moi très importante, une nécessité ?
Même moi je ne sais pas ce qu’il en est !

Tout ceci ramène à une chose : le bonheur
Opposé et pourtant si proche du malheur
Chacun le définit suivant son être intérieur
Pour moi le bonheur des autres est le meilleur.

Propos qui peut en faire rire beaucoup
“ Ce n’est pas suffisant” disent-ils pour vous
A croire que l’égoïsme est majoritaire parmis nous
Mais pour moi rendre heureux suffit… c’est tout !

Je n’aime pas cette stupide mentalité
Qui oblige chacun d’être à égalité
“ Qu’un autre soit plus intelligent, on ne peut tolérer”
Grosse foutaise et totale absurdité.

Je n’ai jamais su scolairement le montrer
Mais dans la vie je pense l’avoir démontré
Je comprends les choses avec facilité
Mais pourquoi vouloir me rabaisser ?

Je n’ai pas eu mon bac, je n’avais pas travaillé
Cela suffit-il a démontré ma stupidité ?
Je suis con à l’école, intelligent dans la vie
C’est la conclusion à tirer ? Si oui, tant pis !

Maintenant que vous avez lu attentivement
Ou dans le cas contraire rapidement
Vous allez me juger ! Mais j’analyse les gens aisément
Je sais donc me protéger. Vous me connaissez… partiellement !!!